Ca...Caca...Cafard Cosmique...
... P...Ph...Pha... Pharaon Pharmacodynamique
La Beat Generation
quand
je gagnais des concours de twist au Roméo-Club !
PLAGE PAGE PLAGIAT PLAIE PLAID PLAINTE PLAN
Play Planète
BURROUGHS n’a jamais écrit : on n’entendait seulement passer les hannetons et les cerfs-volants qui
traversaient l’air tiède… Il était trop mal LOTI pour ça !!!!
PLAT PLAINE PANNE PLEINE PACK PAIRE
PALE
Plaie Platine
Madame RACHOU et non Mademoiselle CACHOU comme le prétendent
certains historiens grivelés du cold cold underground, PROPRIéTAIRE du Beat
Hôtel à Paris dans les années 1958-1960, 9 rue
Gît-le-Cœur-rouge-BRIQUE-de-la-guerre-d’Algérie s’affiche sur son pas de porte
avec le même indéfrisable que Mère Grand Belle, blanc-bouclé-reflets bleutés
tandis que BURROUGhs joue aux cut-ups avec Brian Gysin, que les
Chaussettes Noires enregistrent Hey Pony !
et que je m’offre une coupe au
rasoir à 8,50 francs au Beauty saloon et une noisette de PenthO…
William S. Burroughs n’aime pas les Converse ; c’est
dommage, il avait pourtant le look cosmopolite du contre bassiste de jazz.
En 1953 Allen Ginsberg avait la même gueule que JFK en
1965 sauf les lunettes. Les siennes, des PSYKO-KADDISH-IRON
HORSE, reflets Jean Sol Partre, lui permettaient d’écrire avec le soleil
dans les yeux. Apple Lou, lui en aurait bien offert deux paires de plus avec
des montures écailles et obsidiennes, genre Bo Diddley ou Léautaud mais il
était où cet Apple Lou ???
BURROUGHS se la pète au Palace en 1981 : tout appartient au voleur inspiré et
consciencieux… Tous ses écrits entre 1958 et le milieu des années 60
représentent un véritable pillage TEXTUEL. Il détourne, il englobe, il
cannibalise la pub, les quotidiens à gros tirage, les romans de gare, la SF
CUT-UP… DADA réclame des doigts d’auteur… FUCK FINE !!!
PARFAITE PLEINE PAGE PARANOïAQUE
PARALLèLE PLéBISCITE
Play-Back Plèbe
COBRA / 06/01/2009 17:54:06