FREUD FISCAL ...
... ô chahut, ô chaos
« JEROME C. ou C.JEROME ? »
Par Jean AZAREL
« Quand la mer se retire Il ne reste plus rien Une larme, un sourire Quelques mots qui ne s´oublient pas Quand la mer se retire Il ne me reste rien…. »
Ainsi chante à présent Jérôme C., « rongé par le remords » (sic) qui saisit les malfrats de la politique lorsque tombe leur certitude de l’impunité. Mais peut être n’est-il au fond (celui de l’ignominie comme du foutage de gueule) que le clone historique de l’ineffable C. Jérôme, auteur de tubes pour midinettes pâmées devant leur idole comme politicards en proie à la lutte des places ? Jérôme C. et C. Jérôme, resteront pour l’éternité des hommes deux habiles maîtres chanteurs portés par des « talents » d’Achille en apparence contraires, mais qui sont en vérité (si je mens) la même face micro-sillonnée d’un éponyme mirage plaisant de l’égo. « Kiss me, as you love me, prends un coca et assieds-toi. Kiss me, as you love me, ferme les yeux écoute-moi ». Ainsi, Jérôme C. s’adressait-il à ses amis, ses frères (en politique comme en franc maçonnerie), en les prenant pour de simples gogos adorateurs de C. Jérôme. « Conseiller purement technique » de la plupart des laboratoires pharmaceutiques du temps de sa société « Cahuzac Conseil », Jérôme C. ne pouvait qu’être passé maître dans l’art de faire passer la pilule. « Donne-moi la main et si tu t'y prends bien /Je t'emmène avec moi sur l'Himalaya / Tu verras le ciel a comme un goût de miel / Je te dirai pourquoi sur l'Himalaya ». Cent fois hélas, toute trahison a ses revers (de fortune). Désormais, les cocus roses de Jérôme C. défilent en rangs serrés, tels des imams courroucés par la vision de beurettes délurées et dévoilées, en scandant à l’infini « Cahuzac, ton prozac ». C. Jérôme, lui, est mort à l’aube du vingt et unième siècle et à 53 ans d’un cancer du muscle long.
( Miss Tic, la Reine du Street-Art, détournée par le philosophe de 10H 55' )