20 janvier 2011
BROUILLAGES ...
La plupart du temps, le
peuple demeure impuissant face à ses délégués, qu’il ne peut sanctionner qu’en
refusant de les réélire. De fait, la coupure entre élus et électeurs se creuse
rapidement.
Et Proudhon
témoigne :
« Il faut avoir vécu dans cet isoloir qu’on
appelle une Assemblée nationale pour concevoir
comment les hommes qui ignorent le plus complètement l’état d’un pays sont
presque toujours ceux qui le représentent. »
(Les Confessions d’un révolutionnaire, 1849.)
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