
La porte claque refermant ses murs de solitude. Plafonds
moroses, murs parcheminés d’acajou, seul avec le tic tac des pendules et les
communiqués génocides des radios. SEUL au milieu des objets sans sens, des
parfums sans odeurs, des mets sans saveurs, des humains sans humanité, des fleurs
en plastique, des animaux domestiques et du reste qui n’est le reste de
personne. D’ailleurs y-a-t-il eut des gens autrement qu’en squelettes osseux
condamnés à la disette à perpétuité ou en obèses monstrueux aux régimes
...
[Lire la suite]